Sam Trammell, ça ne vous a pas fait trop peur d’incarner un chien-garou ?
Peur? Je crois que vous ne mesurez pas. A Los Angeles, quand on a commencé à parler de «True Blood», la nouveauté de la chaîne absolue des séries HBO, avec Môssieur Alan Ball aux commandes, tout le monde voulait en être. Alors, quand il m’a filé le script et que j’ai découvert que je serais un «shapeshifter», quelqu’un qui peut se transformer en animal, je me suis dit que j’allais m’adapter.
C’est-à-dire?
Bah, moi je ne joue pas le chien, quand je me transforme, c’est un vrai chien qui joue hein! Mais je me suis quand même inspiré de mon animal de compagnie pour mon personnage. Sa manière de renifler, de se mouvoir. Je joue par ailleurs beaucoup de scènes nu, donc les challenges ne manquent pas.
Oui, les scènes de sexe, de violence, sont nombreuses…
Ce qui fait que la moitié des gens que je connais en Louisiane, dont une partie de ma famille est originaire, ne regarde pas la série. Ils sont trop conservateurs et estiment qu’on donne une mauvaise image du Sud. L’autre moitié adore!
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